
J’ai pu déguster celles-ci à mon rythme, une tous les soirs. J’ai lu l’autre jour un article qui expliquait que dans la nouvelle, chaque phrase, élément ou événement y est pensé et construit pour arriver à la chute… un exercice réussi par Florence Cochet.
“Océanica” est excellente en cela : la dernière remarque m’a sciée.
Petit bémol : “Miriam” m’a laissée avec un goût de « je n’ai pas tout compris » : certaines explications à la fin du recueil étaient bienvenues.
“Le parfum du lotus” : idée plus qu’originale traitée avec un humour parfois décapant.
En fait, j’ai été surprise à chaque fois et je n’arrive pas à me prononcer sur l’histoire que je préfère. L’écriture est agréable et le vocabulaire riche. Le thème de l’eau est assez présent, n’étant pas à l’aise dans ce milieu, ça m’a apporté une petite angoisse supplémentaire “Dans les profondeurs”.
Un bon moment de lecture que je vous conseille : plongez !